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Les TADLa valorisation des terres agricoles dévalorisées (TAD) représente un enjeu de taille pour la MRC et ses municipalités. Les TAD peuvent se définir comme : des terres agricoles où les activités agricoles ont cessé, que ce soit depuis seulement un an ou depuis plus de dix ans 20. L’étude classifie 4 stades d’évolution des TAD. Du stade herbacé bas au stade arbustif haut. Bien entendu, plus le stade d’évolution est avancé, plus la remise en culture de la terre est complexe et couteuse. Chacune des TAD ont été caractérisées et ont été classifiées selon un potentiel de remise en production en fonction de six critères : couverture végétale, topographie, pierrosité, potentiel ARDA, superficie et usage contigu du sol. Les trois premiers critères sont issus des observations réalisées lors des visites terrain, alors que les trois autres sont le fruit de manipulations réalisées avec l’aide de la géomatique. Cette classification se décline en six classes présentant un potentiel de remise en culture allant de « Très élevé » à « Insuffisant ». Une septième classe a également été créée pour les terres qui sont constituées à plus de 50 % de sols organiques selon l’Inventaire des terres agricoles du Canada (potentiel ARDA). La remise en culture des terres en friche, l’expérience du Témiscouata La MRC de Témiscouata et l’Union des producteurs agricoles (UPA) du Bas-Saint-Laurent sont fières de dévoiler les résultats d’un rapport intitulé : « La remise en culture des terres en friche, l’expérience du Témiscouata ». L’objectif de ce rapport est de partager les nombreuses informations récoltées au cours des deux premières années de l’application du « Programme incitatif à la remise en culture des terres agricoles dévalorisées (TAD) » et de démontrer, le cas échéant, sa pertinence et son potentiel de duplication à d’autres territoires. Cette analyse documente le processus de remise en culture de terres de 15 entreprises Témiscouataine de 2022 à 2024. La rédaction de ce rapport a été possible grâce à la participation active des producteurs agricoles, mais également grâce à la participation financière de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent. Pour consulter le rapport : Liens utiles : Pour toute information relative au PDZA, contactez : |
